En 1928, dix ans après la fin de la Grande Guerre ; les femmes étaient considérées comme des accessoires ou des instruments que l’on exhibait dans les soirées mondaines. Des objets à qui il était interdit d’exprimer des opinions ou de prendre des décisions. Certes, la vie n’était facile pour personne mais elle l’était encore moins pour une femme.

Pour une femme en 1928, la liberté était un rêve inaccessible. La société les cantonnait aux rôles de maîtresses de maison, de mères ou d’épouses. Elles n’avaient pas le droit d’avoir d’ambition ou de désir… Pour donner la chance à leurs rêves de devenir réalité, nombre d’entre elles devaient partir loin de chez elles, tandis que d’autres devaient affronter les normes d’une société machiste et rétrograde.

En définitive, riches ou pauvres, nous voulions toutes la même chose, être indépendantes et libres. Et, seules celles qui se battent pour leurs rêves les atteignent…